Regards Croisés

Ce blog est un espace d'échange pour les 6 photographes (3 mexicains et 3 français) sélectionnés dans le cadre de l’échange culturel et artistique entre la région Bretagne et le Mexique BREIZH-MEX, pour réaliser une résidence de deux mois au cours de l’année 2010, respectivement en Bretagne pour les mexicains et au Mexique pour les français. Les photographes développeront un projet sur le thème de REGARDS CROISES. Ce programme de résidence sera suivi d’une exposition itinérante en France et au Mexique, et de l’édition des travaux du concours.


24 de junio de 2010

La Dernière Génération

La ultima generacion

Es cierto, encontrar a gente en Bretagne, que hable el Bretón es difícil.
Y lo era aun mas, cuando tenia claro de encontrar a gente que el Bretón
fuese su lengua materna. Mi interés era encontrar la lengua del Bretón y
profundizar en su nivel fonético. Una fonética no influenciada por el fran-
ces actual, un nivel fonético que dona a quien lo domina una identidad total.

Mi primer encuentro un hombre llamado Yann Fañch, de cincuenta y cinco años
me dijo, "el acento en Bretón que domina mi generación, es un acento que aun
contiene los rasgos del siglo XVIII. Mi generación es la ultima que domina ver-
daderamente el Bretón" En instante paralelo, frente a mis ojos atravesaba un
muro de hormigòn con un "44 BZH" BREIZH VAK.

Dentro del mundo Bretón, esta gente se le dice "Excelentes bretonantes"

En mis encuentros con estos excelentes bretonantes, les pedía ver retratos
de Boda de sus antiguos parientes. El orden en estos retratos, era la primer
fila en pie donde se colocaban los recién casados, normalmente estas filas con-
tenían tres o mas nuevos matrimonios. Y las filas posteriores, escalonadamente
se colocaban todos los miembros de la familia que asistían a este evento. Pero
la primer fila, siempre era de los infantes que integraban la gran familia, estos
se colocaban sentándoos en el suelo.

Esta primer fila consitiuye la utlima generación.

La dernière génération

Il est certain, rencontrer, en Bretagne, des gens qui parlent le Breton, est chose difficile. Et cela fut d’autant plus difficile que je cherchais à rencontrer des gens dont la langue Bretonne est leur langue maternelle. Mon intérêt se portait sur la langue Bretonne et sa phonétique. Une phonétique qui ne soit pas Influencée par le français actuel, une phonétique qui confère à celui qui la domine une identité totale.

Ma
première rencontre, Yann Fañch, un homme de cinquante cinq ans, m’a dit : « L’accent Breton dominant de ma génération est un accent qui contient encore des racines du dix-huitième siècle. Ma génération s’avère être la dernière qui maitrise véritablement le Breton Alors quil disait ces mots, mon regard heurta un mur de béton sur lequel je pouvais lire «44 BZH» BREIZH VAK.

Au sein du monde Breton, on appelle ces gens « Excellents bretonnates ».

Lorsque je rencontrais ces excellents bretonnantes, je leur demandais de m’enseigner des photos de mariage de leurs Ainés. Ces portraits suivaient une ordonnance spécifique : sur une première rangée se tenaient, debout, les jeunes mariés. Cette file était généralement constituée de trois couples, et parfois davantage. Sur les rangés suivantes étaient agencés tous les membres de la famille qui assistaient à cet évènement. Mais la toute première rangée était celle des enfants, qui intégraient la grande famille.Ces derniers se tenaient assis en
tailleur sur le sol.

Cette
première rangée constituait la dernière génération.












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